samedi 14 novembre 2009

Malgré hésitations et choix discutables, la législation est appliquée. Les normes existent, et leur non-respect, signalés par les plaintes des riverains, provoquent fermetures administratives temporaires et manque à gagner dommageable. Et ce, d'autant plus que la caractéristique financière principale des lieux de divertissements parisiens est la faiblesse de trésorerie. La fermeture administrative gèle les ressources et il devient impossible de mettre les locaux aux normes exigibles. De ce fait, la préfecture, de retour, ne pourra que constater l'inédaquation des lieux et exiger leur fermeture définitive.

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