dimanche 19 décembre 2010

C'est ce que je pense en lisant ce post. Curieusement.
Le poids de ce qu'on a à faire dans la vie, de tout ce qui nous pèse, et qu'on n'a pas forcément envie de faire.

Et la conséquence, enfin l'effet secondaire actuel, c'est le concept de lâcher-prise. Comment fait-on ?

Comment décide-t-on de lâcher prise, on décide juste, comme cela, et ça se met en place ?

Comment échapper aux influences parfois lourdes de son passé, de son entourage ?

dimanche 20 juin 2010

Philippe II de Bourgogne dit Philippe le Hardi (1342 - 1404), est le fils du roi Jean II de France, dit Jean le Bon, et de Bonne de Luxembourg. Né à Pontoise le 17 janvier 1342, il fut duc de Bourgogne, comte de Flandre et d'Artois, comte palatin de Bourgogne, comte de Nevers, de Rethel, d'Étampes, de Gien, de Charolais, seigneur de Salins et de Malines. Longtemps appelé Philippe sans terre[2] parce qu'il était le dernier des quatre fils du roi Jean, il est fait duc de Touraine en 1360[3]. Il est nommé Philippe le Hardi par la bouche du roi d'Angleterre pour trois actes qu'il fait[4], le plus célèbre étant son valeureux comportement au côté de son père à la bataille de Poitiers en 1356. Son père lui donne le duché de Bourgogne en apanage en 1363. Il épouse à Gand en juin 1369[5] Marguerite III de Flandre, riche héritière présomptive des comtés de Flandre, d'Artois, de Rethel, de Nevers et du comté de Bourgogne et veuve[6] du précédent duc de Bourgogne Philippe Ier de Bourgogne décédé sans descendance à l'âge de 15 ans. La mort de son beau-père, Louis de Male, le rend maître des territoires apportés en dot par sa femme et fait de lui le plus puissant des « sires de fleurs de lys ». Tenant sous son autorité la Flandre, l'Artois et leurs appartenances, il rassemble sous son contrôle le duché de Bourgogne et le comté de Bourgogne lesquels vont, pendant une période d'un siècle, suivre à nouveau une destinée commune.